La qualité d’un fichier d’adresses est évidemment liée à son contenu, au niveau d’adéquation entre les informations présentées et la réalité mais également à la recense de ces informations.
Un fichier BtoB peut comprendre une cinquantaine de colonnes d’information différentes (enseigne, adresse, forme juridique, activité, téléphone, fax, siren, date de création, dirigeant, cadres, email…).
Il y a un coût de constitution et de mise à jour de ces informations.
La fréquence de mise à jour va fortement impacter la marge.
Le fait qu’ADN travaille traditionnellement comme fournisseur de professionnels du marketing Direct (Routeurs, Brokers, Agences) est une garantie que cette fréquence de mise à jour est optimale.
En effet nous devons veiller à fournir des données de qualité parce que notre marché est avant tout postal et que le fichier ne constituera qu’une faible partie du budget total de l’opération, de l’ordre de 15% – part réduite mais particulièrement vitale à la bonne réussite de l’opération.
Nous devons également y veiller parce que nous travaillons avec des partenaires professionnels sur le long terme et que le moindre échec aurait des répercussions immédiates. Ce marché qui constitue l’essentiel de notre clientèle ne tarderait pas à se tarir rapidement.
La pression est forte, parce que le fichier, souvent loué, constitue le maillon le plus fragile de la chaîne d’une opération de Marketing Direct. Il en constitue la partie la moins visible, la moins mesurable.
Toute opération de publipostage n’ayant pas apporté les résultats espérés amène à s’interroger sur le fichier.
En effet, l’impression aussi bien que le contenu texte et graphique du flyer, l’enveloppe, le timbre sont aisément contrôlables. Le fichier l’est moins.
C’est pour cela qu’il doit être d’autant plus irréprochable.
Et c’est ce qui nous amène par exemple à déconseiller une opération que l’on sait vouée à l’échec.
Nous ne travaillons pas dans le ponctuel mais avec des partenaires qui nous font confiance et savent pouvoir compter sur notre expertise.
Avec l’internet et les fichiers emails, le ticket d’entrée du Marketing Direct s’est considérablement réduit et les offres de fichiers se sont banalisées.
Néanmoins, les données des fichiers sont encore plus éphémères et la mise à jour devient encore plus difficile.
Ne vous laissez pas leurrer par des prix très bas souvent synonymes de données approximatives et surexploitées.
Une bonne communication passe par un fichier sélectif et autant que possible nominatif.